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  Onde électromagnétique  

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   Les ondes scalaires, la lumière qui nourrit et qui guérit.   

Les chercheurs des médecines alternatives se passionnent depuis quelques années pour les ondes scalaires.

Qu’est-ce qu’une onde scalaire ?

Il y a 5 ans, nul ne connaissait les ondes scalaires en France et dans le monde francophone

Une onde scalaire est par définition une onde sans direction, qui finit quand même par posséder un vecteur dirigé, dès lors qu’un récepteur entre en résonance avec l’antenne émettrice de l’onde initiale.

Entre émetteur et récepteur, une onde stationnaire se crée et les lignes de champ vont de l’émetteur au récepteur de manière stricte, sans diffusion autour, ce qui rend la mesure difficile mais optimale.

 

La forme de l’onde scalaire est spirale, et non pas sinusoïde et pour créer de telles ondes, il faut une forme d’antenne particulière, le plus souvent sphérique… comme par ex, le soleil ou la terre ! Pour ne citer que les 2 « antennes » les plus évidentes, qui nous alimentent en énergie depuis la nuit des temps…

D’où ce soin Terre Soleil auxquelles s’ajoutent une onde scalaire spécifiquement axé sur le temps, la distance et l'intensité constante

  QUELLES SONT LES DIFFÉRENTS TYPES D'ONDES SCALAIRES  

 

Nikola Tesla autrefois dans les années 1900 à 1940, et le Pr Meyl aujourd’hui, ont recréé ce type d’antenne en miniature et ont montré expérimentalement que ce type d’ondes existaient bel et bien, qui plus est, qu’elles étaient très communes dans notre environnement, mais encore indétectables avec nos instruments de mesure actuels, tous tournés vers le seul électromagnétisme.

 

Quelle est la différence avec les ondes électromagnétiques ?

Une onde scalaire constituée est une onde longitudinale(les forces du champ ont la même direction que l’onde, comme par ex la compression d’un ressort)alors que l’onde électromagnétique est de nature transversale(l’onde se propage à 90° de la force exercée, comme pour un caillou jeté dans l’eau) ; ainsi l’onde sonore, ou bien l’onde P sismique ou encore les ondes de plasma (gaz sous tension) sont-elles composées d’ondes longitudinales principalement.

Presque toujours, les ondes longitudinales et transversales cheminent ensemble et s’amortissent ou s’évanouissent si elles ne trouvent pas de récepteur pour les absorber et/ou les réémettre : il y a toujours une proportion plus ou moins grande de chaque type d’onde, selon la forme de l’antenne et la nature de l’environnement ; mais la partie scalaire ou longitudinale est beaucoup plus pénétrante(elle passe le maillage d’une cage de Faraday par ex) et lorsque les particules sont très petites, par exemple avec les neutrinos nés dans les étoiles, les volutes d’ondes scalaires peuvent traverser la terre entière !

 

Un autre point important de ces ondes longitudinales est qu’elles voyagent à vitesse variable pour un milieu donné, alors que les ondes électromagnétiques (par ex la lumière visible) voyagent à vitesse fixe (c = 300 000 km/seconde dans le vide) : cette vitesse peut être inférieure à la vitesse de la lumière visible, mais aussi elle peut être supérieure (2 à 3 fois, voire plus) !

 

Le modèle des volutes de fumée pour la description macroscopique des ondes scalaires, a été suggéré par Lord Kelvin en 1900 à Nikola Tesla dont la forme est un vortex et qui se déplient parfois en donnant une sinusoïde.La mise en évidence de ces ondes abondantes, mais discrètes, se fait aussi sur le critère du décalage de phase entre le champ électrique et le champ magnétique associé : les ondes électromagnétiques n’ont pas de décalage de phase, c’est-à-dire que le zéro électrique se fait en même temps que le zéro magnétique ;

à l’inverse, les ondes scalaires possèdent un décalage de phase, ce qui fait qu’elles sont très fiables pour véhiculer des informations sans perte.

Et ce d’autant qu’une onde scalaire ne diminue pas sa puissance avec la distance, au contraire, elle se renforce ! Alors qu’à l’inverse une onde électromagnétique diminue sa puissance avec le carré de la distance (par ex les ondes radio).

 

Comment cela fonctionne-t-il ?

Dès lors que l’on sait que ce « nouveau type » d’onde existe dans notre environnement, les 3 questions importantes sont : quelles en sont les sources ? D’autre part, par quels types d’antennes sont-elles reçues ? Et enfin, à quoi cela sert-il ?


La source première de ce bruit de fond scalaire est notre étoile le soleil , il ralentit du cosmos et émet lui-même des neutrinos :
– à partir de la désintégration des neutrons au cœur de l’étoile – que nous recevons sur la terre à la « dose » de quelque 66 milliards de neutrinos par cm2 et par seconde !

Ce bombardement incessant est un flux d’énergie spirale que nous pouvons capter (« ce tourbillon profond d’où viennent les 10 000 Êtres » écrivait déjà Lao Tseu 6 siècles avant J.-C. – Le livre de la Voie et de la Vertu – chap IV) ;

en 2015, le prix Nobel de Physique a été attribué à 2 chercheurs (Canada et Japon) qui ont justement montré que les neutrinos avaient une charge et une masse et donc qu’ils étaient bien une source potentielle d’énergie (E = mc2).
Outre le soleil, les ondes scalaires sont émises et reçues à une toute autre échelle de puissance – toujours sous forme spirale
– par tout être vivant (végétal, animal ou humain).

 

Dans nos cellules, nous avons des antennes en forme d’hélices ou de spires pour accueillir, absorber et utiliser cette énergie :

les ADN sont de forme hélicoïdale, ils peuvent entrer en résonance avec des ondes de même forme venant de l’extérieur, de même que les protéines activées dans le cytoplasme.La sève des végétaux ou bien notre sang ou notre lymphe, circulent en créant des vortex en permanence.

Au sein des vortex d’eau, de plasma ou de liquides interstitiels, on peut très bien imaginer que ces ondes très pénétrantes se ralentissent, s’amortissent et nous communiquent leur énergie.

 

L’ADN de toute cellule est parcouru par une onde scalaire dite onde du vivant, qui permet la communication des informations entre les cellules du corps

 

Le Pr Meyl a défrayé la chronique en 2016 avec la parution de son livre en partie autobiographique« La guerre des ondes scalaires » ; il y expose les raisons qui font que les armées de l’OTAN (dont malheureusement la France) ont été et sont actuellement en échec en Syrie devant l’armée russe ou même face à l’armée iranienne, du fait de la méconnaissance par les physiciens de l’Ouest de ces ondes longitudinales électriques ou scalaires et de la notion physique de vortex potentiel.

C’est Nikola Tesla qui a vendu aux Russes dès l’année 1918 la technologie des ondes scalaires, laquelle fut d’abord utilisée pour transmettre sans fil et sans déperdition – à des fins civiles– de l’énergie de Moscou à Vladivostok, pour les besoins de laboratoires de recherche.

Puis, réalisant le potentiel énorme de l’interféromètre de Tesla, dans lequel 2 ondes scalaires de vitesse différente se rencontrent pour un dégagement d’énergie exceptionnel, les Russes ont développé les technologies d’ondes scalaires électriques et/ou magnétiques, capables de passer tous les blindages, de traverser n’importe quelle cage de Faraday et donc d’inactiver à distance (cela peut être quelques milliers de km) tout système électronique adverse,fut-il extrêmement bien protégé.

Car pour les physiciens de l’Ouest, il n’y a que l’électromagnétisme qui compte à ce jour, mais pour les savants russes et aussi pour bon nombre de phénomènes naturels, les ondes longitudinales électriques et magnétiques existent bel et bien, d’où un avantage stratégique certain pour ceux qui en ont la connaissance théorique, puis l’usage et la maîtrise sur le terrain !    

 

Lien entre la méditation, ou la prière, avec les ondes scalaires,

Le cerveau de l’homme émet et reçoit des ondes spirales, ce que les chercheurs russes ont appelé« champs de torsion »dans les années 80. N’importe quel être vivant émet naturellement ce type d’ondes…L’hypothèse est ainsi que les ondes cérébrales portant des informations ont pour support des ondes longitudinales, brassant des électrons, des photons ou des neutrinos !

 

Peu importe le support particulaire, ce qui compte, c’est la nature des ondes émises et reçues, de type longitudinal ; ceci a été démontré il y a 25 ans déjà par le Pr Jacobo Grinberg, neurophysiologiste de l’Université de Mexico, puis ce fut répété à Londres et enfin à Seattle ;

dans l’expérience initiale, le Pr Grinberg plaça dans 2 cages de Faraday différentes 2 personnes qui devaient entrer en méditation et fixer leur attention l’une sur l’autre ; au cours du test, un signal électrique impulsé sur le cerveau de l’un était automatiquement et instantanément enregistré à l’identique sur le cerveau de l’autre.

Que les cages de Faraday soient distantes de 5 mètres, 50 mètres ou bien 500 km. Il ne s’agissait donc pas d’électromagnétisme, qui perd de sa force avec la distance, et le corps humain rayonne bien un autre type d’énergie que celui décrit et démontré par Hertz à la fin du 19e siècle. Ici, c’est bien le rayonnement Tesla qui est à l’œuvre (pas de diminution de puissance avec la distance, pénétration forte au travers d’une cage de Faraday

 

Lorsque le cerveau de l’homme se met en état modifié de conscience, sa capacité de réception pour ce type d’ondes augmente ; il y est plus sensible tout simplement, son tissu conjonctif est plus fluide, moins dense. Mais la nuit, il arrive sur terre 2 fois moins de neutrinos en quantité (33 milliards /cm2/seconde au lieu de 66), car la masse de la terre en a arrêté la moitié en provenance du soleil.

Si du fait d’une réceptivité améliorée, chacun d’entre nous capte durant son sommeil 3 voire 4 fois mieux les neutrinos environnants, même s’ils sont moins nombreux de nuit, la recharge en énergie de nos accumulateurs cellulaires sera positive (du fait de leur meilleure assimilation et de -20 % de dépenses métaboliques objectives). Et à l’issue d’une bonne nuit de sommeil, nous sommes reposés.

De même, lors d’une séance de méditation ou de prières, nos ondes cérébrales sont modifiées (ondes alpha, voire thêta), ce qui nous permet de mieux recevoir de cette énergie environnementale d’une part (bien-être, détente), mais aussi des messages télépathiques venant de personnes avec lesquelles nous serions en résonance (communication facilitée par ces ondes devenues stationnaires entre un émetteur et un récepteur).

 

Depuis des millénaires, les chamans ont guéri leurs concitoyens en utilisant les ondes scalaires et leurs mains. Pourquoi a-t-on maintenant besoin de machines ?

L’être humain comme toute forme de vie sur la terre émet de la lumière visible électromagnétique et de la lumière invisible et encore non mesurable – si ce n’est par ses effets biologiques – de type longitudinal. Un type renforce l’autre et réciproquement.

Chacun d’entre nous a la capacité de véhiculer l’énergie, la manipuler et la transmettre. C’est une capacité que l’enfant a dès sa naissance et qui va « s’endormir » petit à petit s’il ne s’en sert pas. Certaines lignées familiales ont une plus grande capacité que d’autres. Si vous avez un grand-parent magnétiseur, il est fort probable que vous ayez le « don », c’est-à-dire une capacité plus grande que d’autres d’utiliser votre propre énergie pour percevoir les émotions des personnes qui sont autour de vous, pour soigner et enlever certaines douleurs…

On peut mesurer avec une caméra SQUIDD très sensible le champ infrarouge qui sort de la paume des mains des guérisseurs : et il est multiplié par 1 000 ! dès que le guérisseur entre en état modifié de conscience lors de la phase de traitement de son patient ! D’où vient cette énergie supplémentaire ? De l’environnement bien entendu, et il faut des photons et/ou des neutrinos très pénétrants pour alimenter en temps réel et abondamment une séance de « magnétisme » via les mains d’un chaman doué.

Mais pour qui veut apporter de l’énergie à son patient avec l’aide de ses mains, il faut à la fois la bonne attitude, mais aussi de l’entraînement, afin de savoir se rendre perméable à une énergie environnante d’une part, puis afin de savoir la diriger avec les visualisations correctes sur la« cible ».

À l’inverse d’un chaman ou d’un médecin, la machine n’est jamais fatiguée, n’a pas de problèmes personnels interférents, ni de saute de concentration ! Elle ressemble avec son antenne émettrice et son antenne réceptrice résonante, « aux bras ouverts d’un bon magnétiseur » qui a aussi son pôle + et son pôle – entre sa droite et sa gauche, et avec une bonne onde stationnaire – bien stable une fois la résonance établie – présente entre ces 2 pôles.

L’avantage d’une machine est toutefois de pouvoir être sollicitée à tout moment.

Le Scalar Wave Device du Pr Meyl est donc avant tout une bonne source d’énergie physiologique, très douce (50 mW au max, soit seulement un vingtième de la puissance de votre téléphone portable qui fonctionne à

1 Watt). Il évite aux praticiens d’être fatigués en fin de journée, justement pour avoir trop dépensé de leur propre potentiel.

Recharger quantitativement en énergie assimilable les patients évite de se décharger soi-même, ce que constatent directement les acupuncteurs et les ostéopathes. Le côté pénétrant, à la fois de la dose d’énergie pour les cellules et aussi des informations portées par le champ, est garanti par la nature scalaire de l’onde porteuse. C’est fondamental, car aujourd’hui il existe beaucoup d’appareils qui ne parlent que d’informations transmises, mais jamais de leur mode de transmission, c’est-à-dire de la nature de l’onde porteuse.

C’est une erreur, car on ne sait ainsi jamais si la cible sera touchée par un message certes envoyé, mais peut-être jamais reçu…

JjGvibrasons, 1 kinésiologue, 1 Chamane, 1 créateur de fleurs de vie (onde de forme) et 1 utilisateur des lettres hébraïques, sont en train de créer le même potentiel de régénération avec un assemblage énergétique tirant sa force dans les 4 domaines, avec en plus les ondes scalaires.

 

Les ondes scalaires préfigurent-elles la médecine de demain ?

Il existe déjà une Médecine qui utilise des outils physiques avec comme ondes porteuses des ondes électromagnétiques ; la lumière ordonnée de type laser améliore la pénétration, car des photons visibles ne traversent que quelques millimètres de peau et de tissu conjonctif (quelques cm dans le rouge). Le fait de disposer à présent d’une onde porteuse de nature longitudinale ou scalaire autorise un autre type de Médecine : l’onde porteuse pénètre facilement, apporte toutes informations aux tissus et aux organes en profondeur, et en plus de cela, elle leur apporte de l’énergie utilisable, en concentrant l’énergie préexistante du champ ambiant.

À la fin des années 90, le professeur Konstantin Meyl a voulu produire un kit expérimental qui serait à même de démontrer de manière reproductible et constante d’une part l’existence des ondes scalaires et d’autre part leur transmission à distance dans l’air avec un rendement sur unitaire. Ce kit a permis à de nombreux laboratoires, instituts et facultés dans le monde de confirmer les propriétés étonnantes du rayonnement Tesla, dont la production « standard » a été permise grâce à la miniaturisation opérée par le Pr Meyl des installations autrefois de grande taille et sous très haute tension de Nikola Tesla.

Or jusqu’à présent, dans les facultés de Médecine, il n’était pas encore question d’énergie, faute de définitions précises et aussi du fait de la
mainmise des lobbies pharmaceutiques sur l’enseignement de la biologie et de la médecine en général depuis les années 50.
Aujourd’hui,
on ne soigne qu’avec de la chimie et avec des médicaments sous brevets et selon une logique symptomatique, sommes toutes, très primaire. Cette Médecine dite moderne a fait 2 erreurs fondamentales, qui la rendent empirique dans le mauvais sens du terme et non plus véritablement scientifique, c’est-à-dire en accord avec la Connaissance actuelle :

  • 1ère erreur: elle confond l’attitude à adopter lors de la mise en œuvre de la Médecine pour les cas d’urgence avec l’abord du patient nécessaire pour la Médecine des cas chroniques :

  • or autant dans le premier cas, il faut remplacer une fonction défaillante (asphyxie, perte de sang importante, septicémie, etc.), autant dans le second il faut stimuler au contraire la biologie en défaut, sous peine de l’affaiblir encore, si on continue à long terme à la remplacer.

       L’allopathie est ainsi indiquée dans les cas d’urgence et autour de la chirurgie. Mais il faut une autre

      logique plus holistique afin d’aborder les cas chroniques, dans laquelle la suppression des symptômes n’est

      pas prioritaire, tant s’en faut.

  • 2e erreur: Elle a oublié la physique dans ses méthodes et ses outils de soins ;ce qui fait que la compréhension de l’électricité, du magnétisme, de la lumière dans tous ses aspects ne fait pas partie de la recherche officielle (sauf dans les pays de l’Est et en Asie) !Ainsi la source de l’électricité dans le corps, les variations du champ magnétique externe et interne, la conduction de la lumière le long des fibres optiques que constitue la matrice fondamentale conjonctive dans le corps, tout cela reste de la science-fiction pour nos physiologistes exclusivement biochimistes.

Aussi la compréhension des différents aspects de la lumière et de leur physiologie dans le corps vivant est-elle une nouveauté ; non pas pour les Médecines ancestrales, chinoise, indienne ou chamanique, mais pour les médecins modernes des hôpitaux ! Or le paramètre « vitalité » des tissus est de nature physique et la Médecine du XXIe siècle, si elle se veut scientifique, doit désormais en tenir compte, pouvoir l’explorer et le modifier.

En ce sens, les ondes scalaires constituent une avancée majeure dans la Médecine contemporaine moderne ; leur existence est une réalité physique tout juste démontrée ; on peut désormais en parler avec les mots de la Science Physique, sans aucun ésotérisme(le Yin et le Yang, le Qi ou le Prana…)

Expliquées et mises en avant par des physiciens de haut niveau, elles devraient permettre l’accès à de nouvelles techniques de soins, alliant la Physique et la Chimie, ce qui relève du simple bon sens !

Il ne s’agit pas d’une énième approche« quantique », un mot souvent inadapté à la réalité clinique, mais de la compréhension de la Physique des ondes et des champs au sein du vivant, une Physique qui date des Grecs et de 2 500 ans !

Le Pr Meyl est en mesure de nous démontrer pour la première fois en France qu’il est possible de recueillir sur un feuillet contenant du silicium et du graphite (carbone) un peu de ces ondes scalaires de notre environnement, jusqu’à fabriquer spontanément le 1 watt de puissance nécessaire à alimenter de manière permanente la batterie de votre téléphone portable par exemple.

Si une feuille de format A4 peut collecter quelque 2 ou 3 watts par heure, il sera facile de comprendre que notre corps, qui contient de l’eau, du carbone et aussi du silicium, peut facilement et depuis toujours, réaliser la même opération !

Il est donc possible désormais de démontrer que tout être vivant sur la terre constitue un« appareil »de recueil de cette énergie libre. Nous ne le savions pas, car nous n’avions pas les mots de la Physique pour le décrire, ni les expériences pour démontrer simplement la réalité de ce rayonnement neutrinique, son abondance et son ubiquité, ainsi que sa puissance (faible).

C’est désormais une réalité et, au-delà de la Médecine, au lieu de fouiller la terre et de la polluer, l’Homme va pouvoir regarder le ciel pour extraire l’énergie dont il a besoin, que ce soit pour lui-même (c’est déjà fait depuis toujours), mais aussi pour sa maison (d’ici 5 à 10 ans) et bientôt pour ses industries.

Prendre conscience de cette énergie qui nous entoure sera une Révolution en Biologie et en Médecine, mais aussi à n’en pas douter, pour ce qui concerne notre spiritualité.

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